huffingtonpost - LISM

(Octobre 2015)
Quand les bactéries se battent à coup d'arbalètes
Les bactéries ont plus d'un tour dans leur sac. Parfois, elles se battent entre elles. Abdelrahim Zoued, doctorant à l'université d'Aix-Marseille, a découvert avec quelles armes. Retour au Moyen-Age garanti. Quelques mots sur Abdelrahim Zoued. Actuellement en fin de 4e année de thèse à l'université d'Aix-Marseille et au sein de l’institut de Microbiologie de la Méditerranée (IMM) dans le laboratoire du LISM et sous la direction du Dr Eric Cascales. Sa thèse porte sur l’étude du "système de sécrétion de type 6 chez la bactérie pathogène Escherichia coli enteroaggregatif. Afin d'être un peu plus explicite, il précise : "Je travaille sur la question de savoir 'Est-ce que les bactéries se font la guerre ?' Et la réponse est oui. Il a récemment publié en collaboration un article dans la revue Nature et qui a fait l’objet d’un article de vulgarisation sur le site du CNRS qui caractérise l’arbalète moléculaire des bactéries pour se faire la guerre.


ARTE Future - LISM

(Octobre 2015)
Une bactérie sur quatre lance des flèches empoisonnées
Une guerre intense se joue tout autour de vous sans que vous le sachiez : le monde microscopique des bactéries est un repère de serial killers. Les bactéries ne s’en prennent pas tant à vous, elles attaquent surtout leurs voisines ! Pour trouver de la place, se nourrir ou tout simplement réagir à une menace, les bactéries doivent être préparées au combat. Toutes les bactéries ont un système d’attaque, mais certains sont plus efficaces que d’autres. L’équipe de chercheurs d’Eric Cascales (CNRS) a découvert que près d’un quart des bactéries possèdent une sorte de micro-arbalète qui cible d’autres bactéries ennemies en leur envoyant des sortes de flèches empoisonnées


Biofutur - IGS

(Septembr 2015)
On a ouvert la glacière de Pandore
Dans la continuité des travaux que nous menons depuis une dizaine d’années, notre équipe vient de publier la caractérisation détaillée de Mollivirus sibericum, un représentant d’une nouvelle famille des virus géants, isolé sur des cultures d’amibes du genre Acanthamoeba, au contact de permafrost (ou pergélisol) sibérien daté d’environ 30 000 ans (1).Comme pour Pithovirus découvert l’année précédente dans des conditions similaires (2,3), la juxtaposition des mots « virus », « géant », « Sibérie », et « permafrost », et ce dans le contexte du réchauffement climatique, a déclenché une frénésie médiatique amplifiée par internet (plus de 250 000 articles ou posts de blog relatifs à nos travaux ont été référencés par le moteur de recherche Google en quatre jours).


Pour la science - IGS

((08 septembre 2015))
Un nouveau virus géant venu de Sibérie
Le groupe des virus géants s’agrandit avec la découverte de Mollivirus sibericum. Les caractéristiques de ce dernier le distinguent des trois familles de virus géants connues jusqu'ici.


Libération - IGS

((08 septembre 2015))
Un nouveau virus géant découvert en Sibérie.
Saga des virus géants, épisode IV. L'équipe de Jean-Michel Claverie et Chantal Abergel, à Marseille, publie ce matin dans les PNAS (la revue de l'Académie américaine des sciences) leur dernière découverte dans le sol gelé en permanence - le pergélisol - de Sibérie. Une quatrième sorte de virus géant, d'un genre jusqu'alors totalement inconnu.


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